Communiqué de presse
Nous devons retourner à la source appelée science. Le président Vahagn Khatchatourian a participé à l'assemblée générale annuelle de l'Académie nationale des sciences de la RA
Nous devons retourner à la source appelée science. Le président Vahagn Khatchatourian a participé à l'assemblée générale annuelle de l'Académie nationale des sciences de la RA.
Aujourd'hui, dans la salle de conférence de l'Académie nationale des sciences de la RA, le président Vahagn Khatchatourian a participé à l'assemblée générale annuelle consacrée aux principaux résultats de l'activité scientifique et scientifico-organisationnelle de l’ANS de la RA 2021.
Le président de l’ANS, l'académicien Ashot Saghyan, a présenté les principaux résultats de l'activité scientifique de l'Académie, la stratégie de développement des années à venir et les programmes de réforme structurelle de l’ANS.
Ashot Saghyan a noté qu'en 2021, dans les conditions difficiles de la pandémie de COVID-19 et de l'après-guerre, l'Académie a poursuivi son activité scientifique et organisationnelle regulier. L'académicien-secrétaire de l’ANS, le membre correspondant Arthur Ishkhanyan a présenté l'activité scientifique et organisationnelle de l’ANS en 2021.
En souhaitant la bienvenue aux participants de l'assemblée générale annuelle de l'Académie, le Président de la République a noté que c'était un honneur pour lui d'être présent dans un environnement qui lui tient à cœur.
"J'ai consacré une assez longue partie de ma vie à la science, je me suis toujours considéré comme l'un des vôtres. Je ne me suis jamais senti étranger à cet environnement, je sais très bien ce que cela signifie d'être un scientifique. Peu de gens peuvent devenir des scientifiques, et nous devrions tous l'apprécier : vous mêmes, la société et le gouvernement. Après tout, notre fierté en tant qu'Arméniens a toujours été notre science, et les gens instruits", a déclaré le Président de la République.
Se référant aux activités de l'Académie des sciences, le Président Khatchatourian a souligné deux circonstances importantes. "Il est nécessaire d'étudier et d'analyser les événements en profondeur. Nous devons tenir compte de l'argumentation scientifique lorsque nous exprimons notre point de vue sur la politique de l'État. Votre participation à ce processus est importante, a déclaré le Président, nous avons un sérieux problème dans le discours public et la politique. Lorsque nous exprimons des opinions, souvent, elles ne sont pas étayées scientifiquement, mais simplement des souhaits. Cela nous induit tous à l’erreur : les responsables gouvernementaux, les forces politiques et le public. Ces opinions non fondées sèment la confusion dans la société.
Nous devons donner des évaluations impartiales de la situation actuelle et dans l'avenir, qui deviendront également la politique de l'État."
Vahagn Khatchatourian a souligné la nécessité de discussions scientifiques. "Si vous essayez d'évaluer les raisons de nos échecs actuels, vous comprendrez que la raison est de s'être éloigné de la science. Nous devons revenir à cette source, qui s'appelle idée, impartialité, honnêteté et réalisme", a-t-il déclaré.
Selon lui, il n'y aura pas de développement de la République d'Arménie sans éducation et sans science. "Nous n'avons pas d'autre ressource que l'être humain, avec ses connaissances, ses capacités et ses initiatives. L'enseignement général, l'enseignement supérieur, la science, ce lien doit être complet. Dès l'école ou même le jardin d'enfants, nous devons préparer notre société, et nos citoyens à devenir des personnes plus éduquées, et en même temps plus dévouées à la patrie", a déclaré le Président.
Le Président de la République a souhaité à tous le succès et de nouvelles réalisations.
"Toutes les branches des autorités arméniennes : le gouvernement, l'Assemblée nationale et l'institution présidentielle, sont à vos côtés. Ils soutiendront toutes vos initiatives et sont prêts à discuter de toute question difficile qui pourrait se présenter. Pour construire notre État de demain, nous devons être unis : divisés, nous ne pouvons pas exister", a conclu le Président de la République.